Une détente... je vous en pris! [Possibilité d'Hentai, lèger or not :D]

Je marchais dans la rue, irrité, frustré et démangé par la stupidité de certain de mes contrebandiers et de mes hommes de mains qui foirait tout mon travail malicieusement orchestré! Rajouter à cela le fait qu’il pleuvait des cordes en plus! Je ne pouvais même pas fumer ma clope tranquille avec toute cette pluie et ses gens qui couraient à gauche et à droite pour se mettre à l’abri de la pluie.

Ah oui et il y avait cette espèce d’humain miniature qui me suivait partout en me disant que j’avais tel truc a tel heure une sorte de secrétaire collé à mes basket que parfois j’avais bien envies de tué. Il finit par tiré, pour une énième fois ma manche et je me retournai en le regardant de mes yeux bleu perçant au travers de mes longs cheveux noir mouiller et collet contre mon front. Il prit peur, bien sûre, et je soupirais avant de dire froidement.

- Si tu ne dégage pas de ma vue et de mon espace vitale dans les cinq prochaine seconde je ne donne pas cher de ta peau alors… DÉGAGE!!!

Je fini par me calmer et me retourna en continuant ma route. La tête basse, le nez dans la fourrure et les mains dans les proches j’avançais avec ma clope trempé entre les dents. Une musique de pub fini par attiré mon attention, je levai la tête et vit l’enseigne du succubus… hé bien un bar! Ça me ferait du bien! Il y avait un moment que je n’étais pas sortie et que je n’avais pas touché à de l’alcool! Toute cette paperasse à remplir a journée longue et les visite mensuelle pour récolter la taxe des différentes entreprises, ne me donnait pas grand temps pour m’occuper de moi-même! Avec un peu de chance il y aurait de la nourriture et peut être même quelque femme de joie.

Je passai la porte et replaça rapidement mon manteau sur mes épaules. La dirigeante du succubus était, selon plusieurs dire, une magnifique femme très provoquante et en plus elle serait la maîtresse de la luxure. Alors bon, Shining n’avais pas réellement rencontré les autres maîtres, ne les connaissant que de nom puisqu’il s’enfermait souvent dans son bureau. Une femme vint me voir et me guida vers l’une des grandes tables « de luxe » pour les invités plus fortuné et plus haut placé. Cela faisait du bien au moral!

Je la laissa enlever mon manteau le faisant glissé par-dessus ma chemise en partie déboutonner et fini par m’asseoir dans le grand siège circulaire à l’arrière de la table ronde. Je souriais, indéniablement, la femme ne cessait de me regarder, même si elle ne disait rien ses yeux expressif montrait bien qu’elle me dévorait des yeux. Je jetai ma clope humide et m’en sortie une nouvelle que j’allumai tout en commandant de l’alcool. La femme me demanda si je voulais voir la maitresse des lieux, je haussais les épaules, et puis pourquoi pas? Peut-être que je pourrais l’apprécier, surtout si elle était plus provoquante que les serveuses déjà habillé de façon presque dénudé en petite dentelle de soie noir et rouge.


Je m’installais confortablement en croisant les jambes, accotant mes bras sur le dossier du banc collé au mur tout en buvant ma pinte de bière noir pour attendre cette femme.

Je fini ma pinte de bière et ma clope que j’écrasa entre mes doigts et une femme s’approcha de moi, poussant la pinte et s’assoyant d’une fesse sur le bord de la table ronde, au vu de la jupe et des botte je me décidais à lever les yeux, le décolleter était admirable et je regardais enfin son visage après avoir dévoré son corps des yeux un moment. Une peau pâle, des cheveux courts et rougeâtres, un habit plutôt aguicheur et légèrement salace. Et bien je ne pouvais pas me trompé, la gérante du bar succubus la maîtresse de la luxure!

Je passais un rapide coup de langue sur mes lèvres tout en grattant un peu ma barbiche. Mes yeux scrutant le moindre pore de sa peau luxueuse. Pour avoir vu des dizaines de pute, je savais reconnaitre celle de « luxe » et d’expérience et elle était non seulement un met de choix, mais de luxe en prime. Je gloussai quand elle se mit à parler. Et elle finit par susurré à mon oreille en prime de passé la soirée en ma compagnie. J’étais plutôt choyé!

- Oui une seconde bière noir ne serait pas de refus, et du plus fort aussi serait une bonne chose… et puis, pour votre proposition pourquoi pas! Ça me fera de la compagnie surtout qu’on ne peut refuser la compagnie de la Maîtresse de la luxure, si je ne me trompe point!

Je rigolais, j’allais pour ajouter quelque chose, mais l’ouverture de la porte sur deux étrangers attira mon regard, enfin des étrangers pour les occupants du bar, mais pas pour moi. L’Homme qui s’occupait de la plus part de mes trafics était un homme aux cheveux blanc avec des lunettes, mais il était droit et ce n’était pas contre lui que j’allais trouver de quoi lui reproché dans son travail! Il entra en tenant une femme par le bras, la femme avait un énorme manteau sur le dos, mais dessus, je le voyais bien, elle avait les mains attaché avec des menottes. La femme était docile, elle se plaignait un peu de la rudesse de la poigne de mon assistant mais bon.

Ils arrivèrent tous deux à ma hauteur et Michaelis dit, tout en replaçant ses lunettes comme a chaque fois.

- Je suis désolé de vous déranger, mais je ne suis pas certain de la marchandise apporté, pas qu’elles ne sont pas jolie, mais je ne sais pas dans qu’elle catégorie les classées… j’hésite entre celle de joie ou de luxure.

Je regardai la jeune femme, elle avait peut-être dix-sept ans, si elle n’était pas plus jeune, je passai ma main sur le côté de sa joue, une belle peau rosé et douce au touché comme celle d’un bébé. Elle était donc jeune, et très belle, mais qu’en était-il du reste? Je passais doucement ma main entre le bouton du manteau, elle ne portait qu’une culotte et une brassière… Je touchais la peau de son ventre, passait ma main sur sa poitrine et descendit, sous ses réactions elle était encore vierge. Je regardais Michaelis en disant…

- Les vierge met les dans la classe de lux, pour les autre celle de joie.
- Parfais maître, je fais cela dès que je suis rentré, mais avant puis-je me permettre de fumé un peu avec vous?

Je gloussais et quelqu’un vint chercher la fille et Michaelis sortie une clope qu’il alluma et j’en mis une entre mes dents que j’allumais à l’aide de la sienne en lui disant de prendre place et tapota doucement sur le banc à côté de moi pour inviter la maitresse des lieux à s’asseoir. Je croisais mes jambes, souffla ma bouffé de fumer avant de tendre la main vers la femme en disant.

- Mais ou ses mes bonnes manières? Je ne me suis pas présenté encore, e me nomme Shining Sophiev je suis le maître de l’orgueil. Et vôtre hôte pour la soirée, je suis en effet nouveau ici, la musique et l’enseigne m’a attiré e cherche à me détendre pour la soirée une fois que Michaelis mon second en affaire sera partie, je compte bien me détendre et oublier mes petite businesse.

Je souriais, ce sourire espiègle que j’avais quand j’étais de bonne humeur. Et oui je l’étais, notamment parce que j’avais eu une bonne cargaison de fille et aussi à cause de tous les mots que plusieurs occupant des tables autour passait, sans compter la magnifique créature qui semblait encore assis sur ma table.

Finalement après un moment elle vint s’asseoir à côté de moi tout en se présenta. Bingo, j’avais deviné juste tant qu’à son titre, je souris montrant mes belles dents blanches je grattais encore ma barbiche avant de dire :

- Comment je ne pourrais point deviné? Il suffit que d’un coup d’œil pour savoir a qui nous avons à faire. Il est aveugle celui qui ne remarquerait point votre beauté enchanteresse.

Je rigolais quand je vis Michaelis détourné la tête, il était bouché comme un jeune vierge effarouché, mais il faisait affaire avec moi et faisait le trafic de prostitué et allait même les vérifier sous toutes leurs couture. Finalement la serveuse arriva avec deux bières noires et un cocktail pour Hanna, juste à l’odeur elle était forte, Michaelis tenait bien l’alcool, même s’il n’affectionnait pas le fort mais plutôt les bières blonde plus douce.

Je riais intérieurement au comportement de la serveuse qui était en proie à la peur et le comportement de Hanna qui pensait visiblement que j’étais venu pour affaire. Oui je contrôlais la ville certes, mais cette fois je ne me promenais pas pour le business. Je gloussais de nouveau et prit mon verre avant de le lever en disant :

- Aux péchées

Michaelis me suivit, il était un damné, un suicidé. Après un moment Hanna commanda un autre verre et nous demanda si nous avions faim en proposant les pâtes à la Carbonara, si Michaelis proposa l’offre, moi j’étais moins friands des pâtes. Je jouai légèrement avec ma barbiche en commandant un canard laqué bien gras. Une fois les assiettes arrivé on mangea, mais mon comportement, quelque peu aventureux à l’égard de la maîtresse de la luxure gêna Michaelis qui se leva en prétextant aillant quelque chose à faire, je gloussais avant de prendre mon manteau que j’enroulais d’un mouvement autour de mon poignet pour tirer mon second vers moi et l’asseoir sur mes genou dos à moi. Je passais le bout de mes doigts sur sa mâchoire et sur son coup en ne le touchant que du bout des ongles pour finalement saisir sa mâchoire pour relever sa tête et susurré à son oreille.

- On essaie de me faire faux bond Michaelis?

Il déglutie avalant quelque peu de travers sa salive, j’avais un sourire espiègle et sadique sur les lèvres. Michaelis était entièrement aux hommes, du coup cela lui dérangeait de savoir que je pouvais d’avantage apprécier le corps féminin que le sien. Une raison supplémentaire pourquoi je le laissais s’occupé du trafic de pute, il ne les toucherait que pour vérifier leurs qualité et rien d’autre. Je continuais à susurré à son oreille, en lui rappelant ce qui arrivait à ceux qui me trahissait et tout le tralala. Je fini par le laisser partir en lui disant que je le reverrais probablement demain, et pas avant.

Je fini par me retourner de nouveau vers Hanna et lui fit un clin-d’œil en disant :

- Veillez m’excusé du désagrément ma chère, alors où en étions-nous? Ah oui! La question du paiement, je suis gentleman ma chère et je compte bien payer votre assiette, la mienne et celle de mon assistant et vous ne redirez rien de plus à cela, point finale. Sinon je pense sincèrement que vous devriez rassurer votre serveuse, je ne suis pas venu vous dévalisé et mon assistant à la force d’une crevette. Et puis, vos regard m’indique que vous pensez que je peux vous demander que de l’argent, j’en ai déjà bien assez il y a plusieurs moyen de payé et vous savez qu’elle moyen de paiement, m’intéresserait pour le moment.

Je gloussai en souriant malicieusement, avec cette éclat de désire au fond des prunelles et le diable qui s’inséminait de plus en plus dans mon corps ravivant une flamme que je n’avais points satisfaite depuis plusieurs semaines.

Quand Hanna ce colla contre mon épaule j’eus un léger frisson, personne ne m’avais touché depuis des semaines, mon désir était donc à fleur de peau. Je l’écoutais parler en la regardant de biais, plongeant un regard gourmant dans son décolleté très plongeant. Je rigolais quand elle parla du paiement et de ne pas y faire entrer ses employé(e)s, surtout pour le traitement de faveur et elle parla de partenaire régulier. Finalement la serveuse partie, un poids en moins. Une fois la jeune femme partie, Hanna ne ce gêna par pour se rapprocher d’avantage.

Ça, c’était l’une des réactions que j’adorais chez une femme, quand elle te désirait et te le faisait subtilement comprendre qu’en plus tu étais de son goût, ça flattait grandement mon orgueil et mon égos démesuré. Je fini par gloussé la dévorant de nouveau des yeux avant de finalement dire.

- Une fois par mois, si tout vas bien, d’avantage s’il y a des problèmes. Et puis pour le traitement de faveur, qui sait! Rare son ceux ou celle qui me payent de cette façon, en fait je croix même… que vous êtes la première.

J’allais pour l’invité sans plus attendre à venir chez moi, mais un raclement de gorge, un Messieurs et mon chandail qui se fit légèrement tiré, me fit grommeler et regarder le nouveau venu, ce foutu gnome secrétaire énervant! Mais qu’est-ce qu’il me voulait encore celui-là?! Mon regard assez peu flatteur et assez menaçant lui indique clairement que j’étais déranger et qu’il me mettait de mauvais poile! Il se racla de nouveau la gorge avant de dire.

- On m’a fait dire de vous emmener une voiture ainsi qu’un « chauffeur »…
- Hu?
- De la part de Michaelis, Messieurs.

Je gloussais, hé bien rien de mieux! Je lui montrai la porte en lui disant de m’attendre dehors avant de me retourner vers Hanna et de lui tendre la main en disant :

- Cette endroit est quelque peu inapproprié pour nos petite affaire, alors je vous invite chez moi ma chère.

Je pris sa main, lui mit mon manteau sur les épaules et la guida jusqu’à l’extérieur ou nous attendait une voiture tiré par quatre beau étalons noirs. La voiture était conçue de sorte qu’on y avait toute l’intimité nécessaire et puis on n’arriverait pas chez moi en deux minutes. Je la fis monté et ferma la porte derrière moi avant de dire.

- On a le temps de mieux se connaitre ici avant d’arriver.

Je souris sournoisement, mes yeux scrutant sa douce peau pâle qui était douce en plus. Mon désire commençait à brûler au creux de mes reins, un peu d’intimité, une belle femme provoquante et c’était partie. Une vingtaine de minute nous séparait du bar à mon manoir. Mais vingt minutes ne serait certainement pas suffisantes! Jusqu’au petit matin, peut-être. M’enfin seule ce qui allait se passait durant les prochaines minutes nous le dira.

Je frissonnai quand Hanna glissa lentement sa main sur ma cuisse droite et ce rapprocha en me disant qu’elle pourrait retrouver ma langue si jamais je l’avais perdu. Pourquoi parlé quand mon corps s’exprimait très bien tout seul? Sans compter que si j’ouvrais la bouche pour parler ma voie sonnerait enroué à cause de la chaleur qui brûlait mes reins et mes joues. Je dus faire lentement, et inconsciemment, l’autre moitié du chemin quand la voiture s’arrêta… déjà?! Sans blague, il avait fait vite ce foutu gnome, à croire qu’il les avait faite sprinté ses pauvres étalons.

Ce n’est qu’à ce moment que je remarquais que mon visage n’était qu’a deux pouces du sien. Finalement la porte s’ouvrit sur mon secrétaire que j’envoyais valser d’un revers de main! Je lui demandai par contre de m’ouvrir la porte puisque je pris la dame dans mes bras, elle ne pesait presque rien alors bon! Finalement je répondis a sa question tout en commençant a monté les escaliers vers ma chambre douillette et luxueuse, nous serions plus à l’aise la bas pour « discuté » que dans mon grand bureau.

- Les problèmes qu’il pourrait y avoir, exactement il y en a des tas! Faire du trafic a notre insu en est un exemple, ne pas payer et refusé de payé la taxe, un tas de petit truc dans ce sens.

Je gloussais et ouvrit la porte du pied que je fermais derrière moi de la même manière, je la posai sur le grand lit avec la literie noir et or avant d’enlever mon manteau de ses épaules que je jetais sur une chaise. Personne ne viendrait me déranger, surtout si j’étais dans ma chambre avec une dame, mais j’avais tout de même barré la porte, au cas où. Je fini par enlever mon chandail qui commençait sérieusement à me démanger, le seule hic sur mon corps était ses grand cicatrice qui barrait mon torse. Par contre cela me donnait un style et celons des ouï-dire, ça m’allait si bien que ça me rendait encore plus attirant. Alors bon je n’étais certainement pas pour m’en plaindre!

Je mis un genou sur le lit et la poussa doucement la faisant s’étendre sur le dos alors que je me plaçais au-dessus d’elle, une fois que mon visage était au-dessus du sien et mon corps qui en faisait tout autant je fini par dire…

- Je crains avoir perdu ma langue et j’aurais besoin de la retrouvé, si vous voulez bien m’aider.

Je rigolais avant de passa une main dans ses cheveux et de finalement collé mes lèvres au siennes. Un seule baisé fit ravivé cette flamme qui dormait depuis cinq minute qui enflamma mes joues et fit saccadé mon souffle, bon d’accord mon bais avait été doux au début avant de devenir langoureux et un peu plus sauvages naissant d’un désir ardant de son corps. Je fini par rompre cette étreinte les joues aussi rouge que des pivoines, le souffle courts et le corps bouillant de luxure avec cette malice dans le regard et se sourire espiègle.

Je ne me relevais pas, elle était toujours emprisonnée sous mes 1m95 et 95 kilos de muscle. Cependant je ne l’écrasais pas, loin de là, mes bras supportaient mon poids et tous les muscles de mon dos étaient tendus. Ma peau devait être devenu chaude aussi, je souris et lova mon visage dans son cou pour le caresser du but de mes lèvres et du bout de la langue alors que ma main ce glissa su la peau de son ventre et commença doucement a examiné cette peau qui serait mienne pour la nuit.