Je soupirais, il faisait nuit noir avec une légère bruine qui mouillait mes habit et mes cheveux. Mon destrier nommé Zebanok avançait au trot à petit pas. On entendait clairement ses fers cogné contre le pavé inégal de la route. Mes quelques pièces pour payer la chambre cette nuit et me trouvé a mangé, teintait dans ma poche ainsi que les attache de métal et de cuirs du fourreau de ma longue épée accroché après la selle de Zebanok. Je fini par arrivé devant l’hôtel et débarqua de mon ami et compagnon de route que je menais à l’arrière dans sa box loué pour lui, je lui donnais à manger et un carotte comme gâterie avant de flatter un peu son crin blanc et aussi emmêler que mes cheveux et j’entrais dans l’hôtel, déposa l’argent a la réceptionniste et monta à ma chambre.
Je commandais à manger et après avoir mangé mon repas frugal qui ce composa de pain rassit et de vieux légume bouillit je me glissais sous les couettes, je laverais ma lame taché de sang demain. Le soleil fini par percer, au petit matin, les épais nuages pour me redonner une mince lueur d’espoir. Je me levais, sortie de sous les couvertures, prit ma lame que je sortie avec peine du fourreau puisque le sang avait séché, et la nettoya, je la rangeai et sortie de l’hôtel. J’allais voir Zebanok, qui m’attendait avec impatience et monta sur la selle, accrocha ma lame et partie. Je n’avais même pas un bagage sur moi, pas même de linge de rechange.
Je sortie de l’arrière de l’hôtel, et m’engagea sur la route brumeuse devant moi. J’étais un ange, un archange du seigneur, le dernier des archanges, celui des chérubins. Je me battais pour libéré ce monte de l’emprunte des damnée, aidant les gens démunis du mieux que je pouvais et tuant les damnée qui avait le malheur de me croisé, mais en fait, j’étais entièrement perdu.